Claude Souquet vient de boucler son dernier roman, «Un Risque majeur», un polar qui est la suite de la saga des Bosc.
Parlez-nous de l’idée directrice de votre nouveau roman.
Le désastre de Fukushima a mis en évidence qu’un des maillons faibles des centrales nucléaires était le système de refroidissement des réacteurs. D’où l’idée qu’une organisation terroriste pourrait provoquer, sinon un accident nucléaire, tout au moins une alerte, qui relayée par les médias, aurait un effet désastreux sur les populations. Et j’ai choisi Toulouse comme support logistique au groupe islamiste qui aurait pour cible la centrale de Golfech.
En quelques mots, quel est le pitch du roman ?
Bernard Bosc, le petit-fils du héros de mon premier roman, est un flic de la BAC ; Sonia Preston est commissaire à la DCRI ; Hassam Qader est un djihadiste en mission ; Noura Qader, sœur de Hassam, et Bernard Bosc vivent une aventure amoureuse. Le cadre de l’intrigue est Toulouse et Hassam prépare un attentat. À partir de là, l’intrigue se noue.